Les premiers droits, les plus fondamentaux, sont la liberté d’expression, de religion et de pensée. L’ensemble de droits suivants comprend l’égalité de traitement et le droit de s’associer à d’autres personnes de même confession. Le quatrième groupe de droits s’appelle le droit à la vie. Le cinquième groupe de droits s’appelle le droit à une protection égale de la loi. Chaque groupe a des droits différents, mais tous sont fondamentaux pour tous les humains. Ils sont tous décrits dans la Déclaration des droits de l’homme des Nations unies et sont souvent cités dans les discussions sur les droits de l’homme.
La liberté d’expression
La liberté d’expression fait partie intégrante de la démocratie. Elle protège votre droit d’exprimer vos opinions sans craindre l’ingérence du gouvernement et de rechercher et recevoir des informations d’autrui. En contrepartie, vous devez vous comporter de manière responsable et respecter les droits des autres. Si la Cour suprême a reconnu le droit d’un gouvernement à limiter le droit à la liberté d’expression, cette restriction doit être proportionnelle à l’atteinte. Elle ne peut être limitée que lorsqu’un discours ou un acte particulier est haineux ou incite à la violence.
Bien que la liberté d’expression soit fondamentale pour la dignité humaine et la liberté de parole, elle peut être entravée par la common law ou le droit coutumier. Toutefois, les restrictions à la liberté d’expression doivent être légitimées démocratiquement par des parlements ou des élections, car ces lois servent de guide à l’interprétation de la Constitution. Aux États-Unis, la liberté d’expression bénéficie d’un haut niveau de protection et constitue un droit humain fondamental.

La liberté de pensée
La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a accordé une plus grande priorité au droit à la liberté de pensée. En effet, la Cour a pour mission de défendre une société démocratique et de protéger les droits de l’homme de chaque citoyen. En élargissant la portée de ce droit, la CEDH est en mesure de protéger les droits de l’homme les plus fondamentaux des personnes. Toutefois, il faut défendre l’idée d’étendre ce droit à l’ensemble de la population.
Il n’existe pas de consensus sur ce qui constitue une pensée. La Cour européenne des droits de l’homme n’a pas encore décidé si les tests de détection de mensonges basés sur le cerveau ou d’autres techniques psychologiques peuvent être qualifiés de pensées. Pour que la CEDH accorde ce droit, les pensées doivent avoir une certaine logique, gravité et importance. La stimulation cérébrale en boucle fermée et la neuro-amélioration sont des exemples de technologies susceptibles de limiter le droit à la liberté de pensée.
Liberté de religion
Le droit à la liberté de religion et de croyance est l’un des droits de l’homme les plus importants et les plus contestés de notre époque. Si la liberté de religion et de croyance est un impératif sociétal, elle constitue également un élément important de notre vie spirituelle. La raison et la conscience de l’humanité doivent être libres de rechercher la vérité et de vivre à la hauteur de notre potentiel. Les Nations unies reconnaissent ce lien et ont appelé à un débat et à une action significatifs.
Le droit à la liberté de religion ou de conviction a été énoncé pour la première fois dans la Déclaration universelle des droits de l’homme. En décembre 1962, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution qui faisait de la liberté de religion ou de conviction l’un des droits fondamentaux de l’homme. La résolution a ajouté le mot « quel qu’il soit » avant « croyance », et elle est devenue l’un des droits de l’homme les plus importants. Il est devenu un droit universel en raison de sa large portée et de son intersection avec d’autres droits de l’homme.
L’égalité de traitement
Le concept d’égalité remonte à l’Antiquité, lorsque les églises étaient des lieux de refuge pour les criminels fuyant les persécutions. Parmi les autres droits, citons le droit de choisir un partenaire de vie et de se marier. Toute personne majeure a également le droit de pratiquer une religion, d’avoir des opinions et de modifier ses croyances. Le droit au travail comprend des conditions qui favorisent l’égalité des chances. Il comprend également le droit de demander un salaire et des conditions de travail égaux. Cependant, tous les pays n’ont pas mis en œuvre les concepts d’égalité et d’égalité de traitement sur le lieu de travail.
Les droits de l’homme sont inaliénables et interdépendants. La jouissance d’un droit de l’homme dépend de la jouissance d’autres droits. Aucun droit n’est plus important qu’un autre. L’égalité de traitement est l’un des dix droits de l’homme fondamentaux. En outre, les droits de l’homme sont universels et s’appliquent à tous les peuples du monde. Il n’y a pas d’exception à ces droits. De même, il n’y a pas de limitations à leur jouissance. Le droit à l’égalité de traitement s’applique à toutes les personnes sans distinction, indépendamment de leur race ou de leur sexe.
Droit à la sécurité
Les droits de l’homme sont des normes fondamentales de comportement qui protègent toutes les personnes contre les abus. Ces droits comprennent le droit à la vie, le droit à la liberté de religion et le droit de ne pas être torturé. Ils sont également importants pour la prospérité économique. Néanmoins, malgré leur importance, de nombreuses personnes ne comprennent pas pleinement leurs droits.
Le droit à la sécurité est le plus fondamental de tous les droits de l’homme. Si une personne a un casier judiciaire, elle peut être privée de ce droit. Divers traités relatifs aux droits de l’homme visent à garantir la protection de ces droits. Les minorités, les enfants et les peuples autochtones sont particulièrement vulnérables. Le Conseil de l’Europe est le principal organisme de surveillance des droits de l’homme en Europe, il supervise la Convention européenne des droits de l’homme.